Voici le premier chapitre de ma fan-fiction sur Batman, intitulée "La vengeance a deux visages".
Le narrateur est Batman lui-même;
Les mardis a Gotham City se ressemblent, chaque semaines. Car dans cette ville pourrie, tout les mardis, il pleut. Et comme chaque Mardi, l'eau claire de la pluie vient se meler au sang coulant des crimes omniprésents dans la ville. Avant de descendre dans les canaus ménants égouts infestés de rats et de repaires secrets. C'est a cet endroit que je me trouve en ce moment.
Mon ami, James Gordon, ancien (et seul) comissaire honnête de la ville, m'a informé d'un tuyau que même la police de Gotham n'a pas. Dans les égouts, placés sous l'ancien poste de police de Gotham (détruit lors d'un attentat de ce cinglé de Prometheus), se trouve un repaire où se trouverait tout les documents concernant une ancienne affaire de kidnapping/meurtre qui n'a jamais pu être élucidée.
Cette enquête m'intrigue actuellement, car le cadavre d'une des présumés victimes viens seulement d'être retrouvée. Dix ans après l'enquête. Deux ans après mes débuts de justicier masqué. Ce que la police a retrouvé n'était que os et vêtement moisis, mais également une feuille.
Sur cette feuille se trouve une adresse. L'adresse en question, je la connais, et j'y suis allé. Maintes et maintes fois. C'etait l'adresse de Stan Necro.
Laissez moi vous parler de lui avant de reprendre ce récit - Stan Necro était, il y'a 11 ans de cela, un
homme sans histoires, jusqu'au jour où il a abattu sa femme, par légitime défense. Elle était prise de schizophrénie, et avait tentée de tuer son mari. Elle suivait une cure avec un autre schizophrène, un ancien « ami » : Harvey Dent. Depuis ce jour, Stan aussi a perdu la raison. Il avais pris goût au meurtre, et était donc devenu tueurs a gages, entre autres, pour les grandes familles mafieuses comme les Falcone entre autres.
A, j'arrive devant la porte G-78, comme me l'avait indiqué Jim. J'ouvre la porte...
La ou je m'attendais a voir une tonne de dossiers, je trouve un tas de cendres. Des cendres encore récentes, vu que l'odeur de feu subsiste encore... Mais...
Bruce, mon pauvre tu t'est piégé toi même... il y'a une autre odeur plus forte que les cendres ici.
Regarde a l'embouchure de la porte. C'est ça ! J'ai déclenché une capsule dégageant un gaz anesthesiant. Je m'évanouis...